CAMELBAK

1988.

Michael Eidson, un passionné de vélo, court dans la compétition «Hotter’N Hell 100». Et c’est exactement ça : une course de 100 miles sous l’épuisante chaleur estivale de Wichita Falls, Texas. L’eau est un élément vital pour la survie de la course, et il y a peu d’endroits où remplir sa bouteille d’eau. Eidson, un technicien en soins médicaux d’urgence, décide de remplir un sac à soluté intraveineux d’eau, et de le glisser dans un bas blanc en forme de tube. Il la dépose dans la pochette dorsale de son maillot de vélo, gardant le tuyau par dessus son épaule, qu’il garde scellé grâce à une pince à linge.

L’hydratation façon mains libres est née. Et Eidson peut donc boire en pédalant… alors que les autres coureurs riaient en manipulant leurs bouteilles d’eau.

OPÉRATION HYDRATATION – LE CHEMIN DE LA SURVIE

Jeff Wemmer, un cycliste de compétition, est rapidement tombé sous le charme de CamelBak. Il était si impressionné par le produit qu’il en apportait même aux courses pour pouvoir les vendre à son tour. Quel fan! CamelBak l’a finalement embauché en 1993. Jeff entrepris un voyage sur la route, tentant de promouvoir et de maintenir la popularité du produit lors de périodes plus difficiles.

La tradition de l’entreprise veut que Jeff aille visiter les magasins de vélo, de la Floride à la Californie, vendant notre produit, toujours à bord de sa moto. Jeff faxait à l’usine chacune des commandes qu’il obtenait, ajoutant à chaque fois une journée de vie à CamelBak.

LE RESTE EST DE L’HISTOIRE

Ça a pris du courage, de la conviction et de l’imagination pour passer d’un sac à soluté intraveineux glissé dans un bas blanc, à la vente de notre produit par un passionné sur sa moto. Nos valeurs fondamentales restent les mêmes et guident tout ce que nous entreprenons – d’inventer la catégorie d’hydratation, nous sommes devenus le premier fabricant mondial de solutions d’hydratation.

Ah oui… à propos des cyclistes qui se moquaient d’Eidson? Les chances sont qu’ils ont tous un CamelBak accroché à leurs dos aujourd’hui, ou sur leurs vélos. Allez comprendre…